Tuesday, December 23, 2008

Oh shit



Ambiance musicale:

Hekku Shun-Radwimps.



Do you cry when you are sad?
Do you smile when you're happy?
So,do what you want to do
Finally it'll just be a teer in the ocean


On a tous notre mot à dire,on a tous nos marches à franchir,on a tous des reves à accomplir.
Mais dans l'immensité de la foule,les syllabes se perdent dans un vacarme monstrueux.On tombe et on se fait marcher dessus.
On trouve toujours plus grand que soi,et on finit par ne plus parvenir,malgré tous nos efforts,à regarder en haut ce ciel caché.
Parce que toi face aux autres,ce n'est rien.
Mais le probleme en soit;
c'est que c'est pareil pour tout le monde.

J'aimerais que l'on m'explique cette logique,de cette règle qui dit,depuis des temps ancestraux,qu'un homme seul ne vaut rien face aux autres,mais qu'aucun ne vaut face à lui.Cette logique du personne n'aura rien,et tant pis pour ta gueule.

L'égalité.

Alors c'est ça l'égalité?
Et bah si c'est ça.
Moi j'en veux pas.


Au milieu de la foule,il voulut courrir.
Il courrut,il tomba,on lui marcha dessus,il se releva.
Sans jamais baisser la tete.Sans jamais rien dire.Sans jamais rien demander à personne.
Sans reproches il continua d'avancer,meme si sur les escaliers souvent il s'est pété la gueule;meme si sur le bitume souvent il a serré les dents.Mais il s'est relevé,parce que quelques autres comme lui ne comprenaient pas cette logique.
Alors avec eux il a continué à courrir.
Avant d'arriver à un mur.
Escaladant,essayant,de toutes ces forces,retombant,à chaque fois,malgré ses efforts.

Si longtemps,si peu de temps.Si tant.

Puis il se rendit finallement compte qu'il n'y avait pas besoin de tomber pour se faire mal.
Mais qu'il faut tomber pour avoir une raison de se relever.


Un mur qui jamais ne céda,un mur qui jamais ne cédera,un mur qui restera.Encré,sans bouger,jusqu'à la fin.Un mur infranchissable.

Et pourtant...

Il continuera à courrir,tant qu'il y aura des choses pour le pousser;tant qu'il y aura des murs à pousser,tant qu'il y aura des montagnes à escalader.


Tant qu'il restera des putains de belles victoires à arracher.



Je n'ai pas choisi d'etre comme je suis.
Je n'ai pas choisi d'etre qui je suis,je n'ai pas choisi d'etre ce que je suis,je n'ai pas choisi d'etre ce qui me suit.
Je n'ai pas choisi ma vie.
On ne choisit que ses envies,on ne choisit pas sa vie.
Alors j'ai pris.

Et je fais avec.


Découvrez The Offspring!

Sunday, December 21, 2008

Entre-acte



Tu te lèves,tu marches,tu sors,tu t'aères.

Tu t'asseois,dans l'herbe tu respires,en regardant les étoiles tu souris.

En regardant les étoiles tu attends que ta princesse se dévoile enfin.Tu reves et tu y crois.Dans la chaleur et la lumière du noir,tu te sens bien,et tu sourris à la lune.Tu n'as plus peur du noir.

Tu te lèves alors et l'esprit déçu d'avoir attendu en vain part te consoler dans la boisson;noyer ton désespoir dans un verre.Puis,avant que l'on ne te tende ta cannette de coca,on te bouscule.

Ce n'est pas le moment.

Tu croises ce regard.Tu vois les yeux de cette princesse fuyante.De cet amour impossible.Elle le schwepps,toi le coca.Tu t'en remet et pars à sa recherche.

En vain,en vain,en vain.Tant pis.

Puis une vision au loin.Tu t'approches,tu salues,tu y crois.Plein de lumière dans tes yeux,pleins d'espoir qui contracte ton coeur.La princesse inconnue,pas de téléphone,pas d'ordinateur,pas meme un au revoir.Juste embrassée comme adieu.

Et tu es rentré chez toi euphorique.

Mais le téléphone n'a jamais sonné.

Si tu avais su,innocent,les regrets que tu laisserais.

Si tu avais su impuissant,le mal que tu ferais.

Si tu avais vu,inconscient,la vision de celui que tu deviendrais.

Comment aurais-tu réagis?

Tu serais devenu fou de honte.

Je te hais,je méprise cette enfance qui a aveuglé les yeux du coeur.

Je ne t'en veux pas.

C'est une erreur.Ca m'apprendra.

Mais apprendre quoi??

En réalité tu ne pouvais pas savoir.Tu ne pouvais te douter à quel point tu en souffrirais 3 ans plus tard.Tu ne pouvais imaginer le vide que tu laisserais en ton sein.Tu ne pouvais rever que de bonheur et de contes de fées.
Tu ne pouvais pas rever de vie.

Et à ton age,c'est normal.

*Profites de ton présent avant que ton avenir ne noircisse et que tu regrettes le passé.*

http://fr.youtube.com/watch?v=fQolIGIrdzc

Acte unique.

Friday, December 19, 2008

Florian's feather


Aujourd'hui
19/12/2008
20:06
*Give me something i'll never lose again...*
Les vacances sont enfin là.
Après ces semaines passées à les attendre,après ces heures entières à compter les jours,après ces derniers instants,difficiles.
Après ces chants de Noel et ces gouters improvisés.
Après tout.
C'est les vacances.
Ca fait 2 semaines que je n'ai pas touché correctement à mon goban.
Hier,marchant partout,nul part,j'ai atterri au centre culturel.Je m'y suis arreté quelques instants.Mes baskets enfoncées dans les restes de neige,les yeux ouverts,la fatigue m'a donné des hallucinations.Tout s'est éclaircit autour demoi;des bruits connus se sont élevés,et ton image,là,dans le froid,était intacte.Toujours aussi belle.Toujours aussi belle,que j'en crève.Toujours un regard qui détruit.Toujours cette sensation horrible qui se contracte dans ma poitrine.
Mon coeur te pleure toujours.Mon coeur te pleurera peut-etre à jamais.Surement.
Après ces années,j'ai perdu l'espoir.j'ai perdu cette lueur que tu avais laissé dans mes yeux,mais sans abandonner cette douleur que tu as laissée dans mon creux.
Mon coeur a pleuré en voyant cette image.Mes yeux ont hurlé à l'aide.Mais ce qui en a coulé n'ont trovué que la terre pour achever leur souffrance.Ce voile de regrets qui enveloppe,cette sensation minable qui envahit.
Et ça fait mal.
A l'approche de Noel,à l'approche de cette fin d'année,tu ne m'offrira pas de trèves.
Toute ma vie je souffrirai de ton abscence.
Toute ma vie je pleurerai ces souvenirs.
Toute ma vie je regretterais mon innocence.
Toute ma vie je souffrirais du fait que tu m'ai oublié,alors que je me souviendrais jusqu'à mon dernier souffle.
Toute ma vie,j'y croirais.Tu étais celle.
Retournée sans un adieu.Partie sans un regard.Ne laissant derrière dtes pas aucun espoir.
Derrière les miens j'ai laissé couler,en te disant adieu.
En voulant croire que tu peux etre une force pour moi.
En arrivant qu'à voir l'entrée vide en rouvrant les yeux.
C'est pas les cours qui allaient me remonter le moral.C'est mon manque de travail qui a détruit.Cette sensation de lacher,sans pouvoir remonter.Cette volonté d'y croire,meme quand on peut pas,de se battre pour y croire.Il y'a besoin d'y croire pour se battre.Mais ça ne suffit pas face à une copie blanche.L'espoir donne des ailes,mais ne remplit pas une feuille blanche.
J'ai perdu mon go,dans l'orage j'ai perdu ce en quoi je croyais.Redémarrer de nouveau,dans le vide,sans savoir sur quoi,pourquoi,comment.Mon go a finit par se perdre.Sans savoir si jamais il reviendra.
Et merde,j'ai quand meme pas envie de jeter l'éponge.j'ai envie de croire que je vais y arriver.J'ai envie de gueuler que je peux y arriver.J'ai envie de retrouver cette lueur dans mes yeux.
Je t'aime,sans complexe,mais sans repères.
Je t'aime parce que depuis longtemps je n'avais pas regardé d'autres yeux.
Je t'aime parce que depuis longtemps je n'avais pas rencontré une image.
Je t'aime parce que tu me fais rever.
Je t'aime
Merci à ceux qui sont loin d'etre là.Merci à ceux qui sont là de ne pas s'éloigner.
Mais malgré tout,ces vacances;non,on peut pas dire qu'elles seront bonnes.Loin de là.
Bonnes vacances.
*I'm Mister Complain,yeah my life is shit!*
20:59

Sunday, December 14, 2008

Tout est gros au pays des Bisounours




Cette sensation de froid sur mes doigts.Cette nouvelle texture,maléable parfois,réticente souvent.Cette poussière de nuages qui assome ou qui carresse.Qui,sans prévenir,réchauffe les coeurs dans le froid.Qui sans le vouloir,illumine meme la nuit.
Ce miracle qui s'était fait tant attendre.
La neige est enfin arrivée.
Dans ces batailles j'ai fermé mes yeux.Au loin,là-bas,en train de gueuler,j'ai vu Aldo qui revait d'en découdre.A coté de moi,à s'agiter pour tout,pour rien,mais toujorus en caleçon,j'entendais Nat,qui criait la mise à mort.Derrière moi,là je ressentais le silence de jéjé,tapis pour mieux frapper.Puis arrivant derrière,nouveau,inconnu,un certain Michael qui venait nous aider.Je revoyais cetet bataille et pensait à tous les autres,en train de s'éclater au loup garou.Puis une sensation de froid dans la nuque;projetée en avant violemment.Pourtant,meme après avoir rouvert les yeux,j'aurais juré que je m'étais pris un headshot d'Hugo.
Oui,les batailles m'ont fait du bien.Elles m'ont rendus compte des liens que je liais avec ceux qui sont loins,mais aussi ceux qui sont près.MA famille,mes camarades.Cela faisait longtemps qu'un théatre ne m'avait fait rire,merci.
Mais dans ces lancés,où on nous a regardé comme des enfants.Des enfant oui,avec la lumière dans les yeux.La lumière de la joie,de l'espoir,de la vie.Dans le bus,quand je ne sentais plus mes mains,je souriais comme je ne l'avais pas fait depuis longtemps.
Par cette neige j'ai aimé rire.
Par cette neige j'ai aimé aimer.
Parc ecette neige j'ai aimé remercier.
Et par cette neige,jai aimé vivre.



2 semaines et quelques.
Spèce de bouc a l'orange confite.

Wednesday, December 10, 2008

Riot on the Grill




Dans tes yeux,je n'ai pas compris ce que j'aurais du faire.

Dans tes yeux,je me suis trompé sur la vérité.

Dans tes yeux se sont perdus mes envies et mes désirs.

Dans tes yeux s'est détruit mon insouciance et mon sourrire.


Par tes yeux,j'ai menti .

Par tes yeux,j'ai trompé mon univers.

Par tes yeux,j'ai détruit

Par tes yeux,la foudre s'est abbatue


Dans tes yeux,je me suis noyé

Sans pouvoir remonter

Sans pouvoir respirer

Sans meme pouvoir éspérer


Et pourtant j'y crois encore,

Meme en train d'étouffer,depuis ces annees,

Meme si l'amour est mort

J'arrive à voir la surface briller


Ce n'est pas un cauchemar que tu me fais vivre,

C'est un reve interminable,

Une prison dorée infranchissable,

Une tristesse intarissable


On effaçe pas un océan,

On ne résiste pas aux vagues,

Pris dans l'ouragan,

Déchiré par les frissons du vent


Je me suis perdu dans tes yeux,

Je me suis metni dans tes yeux,

Mais ce n'est pas ta faute,

C'est juste moi qui reve un peu trop éveillé.



Parce que je te recconnais dans chacune d'elle,mais je ne peux me séparer de toi.Ton regard c'est un poison qui ronge,une lame qui transperce.

Tes yeux c'est une larme silencieuse qui coule.


Pourtant les siens sont marrons.

Et toc.



Love Song?...



http://fr.youtube.com/watch?v=PUoheROn2AI

Saturday, December 6, 2008

Décharge



"Si tu t'en est sorti,c'est uniquement grace à la force du désespoir".

Sans aucun doute,je suis encore bien loin de mes reves.

C'est qu'une question de travail et de force de volonté.Est-ce qu'elle tiendra encore longtemps?Je n'en sais rien.

Si la route ne s'est toujours pas refermée devant mes yeux,c'est parce que j'ai la rage.La rage de pouvoir devenir quelque chose.La rage de poursuivre ces monstres,qui sont devant moi;et ceux qui sont à mes cotés.

J'ai envie de devenir grand.

Je ne sais pas si je tiendrai encore longtemps,non.

En fait,si,je sais.Ca tiendra.

Tant que j'aurais l'espoir de 12,ça tiendra.

Tant que j'aurais 24 épaules pour me soutenir quand qu'il le faudra,tant que j'aurais 12 sourrires pour m'ouvrir la voie,tant que j'aurais des amis pour m'ouvrir les yeux quand ça va pas;je tiendrais.

I'm number 13.

Mais moi,je ne trahirai pas.C'est une promesse.

No choice or my choice.

That's the question.

Baka.

"Les interets sont décomptés."

http://fr.youtube.com/watch?v=YxKVvdXZIt4