Ce qui régit ce monde,ce qui régit la réalité,ce qui régit notre existence,ce n'est rien d'autre que le temps qui passe.
Je me suis demandé pourquoi il jouait contre moi.Dans quel but la pendule faisait tourner ses aiguilles,si vite,toujours plus.Quelle satisfaction elle gagnerait à jouer contre moi.Elle était déjà sure de gagner.Alors elle m'a enfermé,dans ce monde où les minutes et les heures deviennent des chaines.Alors on reste prostré,enfermé,dépendant de le monde,sans aucune réaction.Et le temps passe toujours plus vite...
Et quand c'est fini,on en fait les frais.
Ca s'appelle les regrets.
J'ai demandé,après un an d'emprisonnement à jouer contre la montre,pourquoi s'etre amusé contre moi.Elle m'a répondu qu'elle n'était jamais intervenue.Et elle avait raison.Tout le long,je n'ai joué que contre moi-meme,je me suis enfermé dans mes propres erreurs.
Le temps ne participe pas,il baisse le rideau.La pièce,c'est toi qui la joue.
Puis que je me suis rendu compte qu'il pouvait prendre un tout autre sens.Plutot que comme d'un bourreau,je pourrais m'en servir comme d'une arme.
Qu'au lieu de jouer contre moi,il jouerait à mes cotés.
Car le temps,c'est lui qui consume la vie,petit à petit.Alors autant s'en servir à bon escient.
Tant qu'on en a le temps...
Je marchai au bord du lac,paisiblement.Une petite brise dans le dos.Je regardai les canards.il y'en avait de moins en moins...A jurer sur leurs tetes,on avait bien du en tuer la moitié avec Idriss...Un vrai piaficide.3 d'entre eux nageaient près de moi.Je dis alors:
"Sur la tete des canards,chuis dans la merde."
Je suis alors resté sur place pendant 30 secondes.
Et c'est dans un sourrire que je vis qu'aucun d'entre eux ne s'était noyé,pour une fois.
Je me suis demandé pourquoi il jouait contre moi.Dans quel but la pendule faisait tourner ses aiguilles,si vite,toujours plus.Quelle satisfaction elle gagnerait à jouer contre moi.Elle était déjà sure de gagner.Alors elle m'a enfermé,dans ce monde où les minutes et les heures deviennent des chaines.Alors on reste prostré,enfermé,dépendant de le monde,sans aucune réaction.Et le temps passe toujours plus vite...
Et quand c'est fini,on en fait les frais.
Ca s'appelle les regrets.
J'ai demandé,après un an d'emprisonnement à jouer contre la montre,pourquoi s'etre amusé contre moi.Elle m'a répondu qu'elle n'était jamais intervenue.Et elle avait raison.Tout le long,je n'ai joué que contre moi-meme,je me suis enfermé dans mes propres erreurs.
Le temps ne participe pas,il baisse le rideau.La pièce,c'est toi qui la joue.
Puis que je me suis rendu compte qu'il pouvait prendre un tout autre sens.Plutot que comme d'un bourreau,je pourrais m'en servir comme d'une arme.
Qu'au lieu de jouer contre moi,il jouerait à mes cotés.
Car le temps,c'est lui qui consume la vie,petit à petit.Alors autant s'en servir à bon escient.
Tant qu'on en a le temps...
Je marchai au bord du lac,paisiblement.Une petite brise dans le dos.Je regardai les canards.il y'en avait de moins en moins...A jurer sur leurs tetes,on avait bien du en tuer la moitié avec Idriss...Un vrai piaficide.3 d'entre eux nageaient près de moi.Je dis alors:
"Sur la tete des canards,chuis dans la merde."
Je suis alors resté sur place pendant 30 secondes.
Et c'est dans un sourrire que je vis qu'aucun d'entre eux ne s'était noyé,pour une fois.
Motoki habite rue Tiphaine.
C'est une blague?-__-
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