Saturday, June 7, 2008

Le gosse qui chiait une pendule.

Il pleut encore?Ca fait 4 jours.
Deezer me plante encore?Ca fait 24 heures.

Je tournes la tete,il tombe des cordes.
De ma fenetre je vois les larmes célestes s'écraser sur le sol.
Pleurer ça libère,ça soulage.
C'est eux qui ont raison,les nuages.
Je suis sorti 3 fois,j'ai fait 4 allers-retours chez Anthony.
J'voulais jouer à Madden,cassser de la ligne,faire des interceptions,des échappées du running-back ou des fumble pour metre des claques.
Moi pour me défouler je fait pas du FPS.
Si jveux me battre contre moi-meme jfais du foot US.
Je regarde pas par la fenetre ce soir;mais je suis certain que les étoiles ne brillent pas.Les volets fermés,la lumiére allumée,pour pas aggresser ma rétine comme j'aggresse mes oreilles de mon MP3.Le stylo sur la pochette,les brouillons loupés,j'ai rien pu écrire depuis.Amertume,ça ne sort pas seul.
C'est pas écrire pour écrire.
C'est écrire pour faire ressentir.
Là j'y arrive pas y'a rien qui sort.
Ce soir je suis blasé autant qu'il fait froid dehors.
J'ai besoin de dormir,meme si j'ai pas sommeil.Rever de la réalité,pour éviter de vivre dans des reves.
Alors tant pis si j'arrive pas à coucher sur le papier.Tant pis si j'arrive pas à former des lettres de mon encre.J'essaye de créer la musicalité du clavier.
Parce qu'il pleut.
Je tappe sans relire mes phrases.
Parce qu'il pleut.
Je fais pas de lien entre mes lignes.
Parce qu'il pleut.

Dans cette situation ya que 3 réalités qui s'offrent à toi.
La tristesse,
la colère;
celles ci j'les ai pas encore compris.
Les amis.



Vous devinerez laquelle des 3 j'ai choisit.


Un moment prit sur le vif.

J'crois que la pendule s'est arreté quelques instants éphémères,pour me permettre d'écrire ce texte brut.

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