Monday, February 18, 2008

Dream[?].馬鹿!!!

C'était bien.J'étais encore dans le champ,de nouveau.Oubliée,l'existence,le temps qui passe,la vie qui s'eteint.A chaque fois je me demande si je ne suis pas mort.
Ce n'est que lorsque je me réveille que je me rend compte que je suis bien vivant.Car le réveil fait mal,à chaque fois.Toutes les fois.
En attendant je ne sais la plupart du temps pas que je reve quand je suis là-bas.Une barrière invisible aveugle mes yeux.Je vois,mais c'est différent.Je ne vois plus seulement avec mes yeux.Mon intuition est écrasée et disparait dans l'infini.Je suis alors dénué de ma force et pret à rever...
















Cette fois-ci je me retrouvai encore au meme endroit.Au milieu du champ.
Les oiseaux chantaient,comme à l'ordinaire;le soleil brillait;les grillons fredonnaient;les nuages s'élevaient.C'était bien.Comme d'hab ouais.Mais c'était bien.Loin du monde.

Puis une louve s'approcha de moi.J'ai tout d'abbord cru que c'était un loup.Puis,au bout de quelques instants,je l'ai compris.Son regard,sa douceur,son comportement.
Ses yeux,si perçants,si profonds.Puis,elle les ferma,et baissa la tete,comme en signe d'approbation.C'est alors que ses amis apparurent.Tout d'abbord,un papillon vint se poser sur mon épaule.Il avait l'air affaibli,détruit par la vie.Si jeune et pourtant un fardeau si lourd à porter.Le roi des insectes avait pourtant réussi à venir se poser sur mon épaule.je le ratrappai plusieurs fois pour qu'il ne tombe pas.
Au loin je vit un aigle se poser sur une branche.Silencieux,attentif.Je m'approchai.Il était grand cet aigle,déployant ses ailes.Il n'émettait aucun bruit,il écoutait.
Puis derrière lui,j'entendis un bruit.
Un paresseux.
Cela me fit sourrire.Un paresseux était tombé de son arbre,réveillé par les ailes de l'aigle qui l'avaient apparemment heurtées.Il se releva,puis,dans un effort qui paraissait pour lui assez exceptionnel,s'approcha.Il avait le sourrire.Il souriait.Ca pouvait paraitre idiot,mais c'est tout ce que je demandais,un sourrire.C'est alors que dans mon dos je sentis une chaleur.Ne me demandez pas comment ce dauphin était arrivé jusque là,emportant avec lui cette vague gigantesque.Mais c'était bien d'etre entouré par eux-tous.A ce moment,une colombe apparut,droit devant mes yeux,comme une étoile brillant en plein jour,comme un sens apporté à ma vie.C'était beau.
C'est alors que sur mon épaule,je sentis un bruissement.le papillon,de ses ailes roses bleutées,s'envola,derrière moi.Puis les autres animaux disparurent à leur tour.Le ciel s'obscurcit.Bientot le soleil fit place à la pleine lune.Plus un bruit.Plus un son.Juste la lueur des étoiles.Juste la lueur de la lune.Juste la lueur de mon coeur.Flamboyant telle une torche,il s'approcha.Allongé,massif,d'une couleur orange brulante,de ses yeux écrasant.Je tremblai.Il ne montrait pas les griffes.Il ne montrait pas les crocs.Il ne montrait aucune marque d'aggresivité.Le tigre se tenait là devant moi.Puis,il s'évaporra,formant une brise vive et brulante.Elle m'entoura.Et je vis dans le ciel,cachant la lune,un phénix s'élever.Il brula de ses flammes le champ.Rien,il ne restai rien,je fus brulé à mon tour,réduit en cendre...

Avant de rouvrir les yeux,brulant.























Parce qu'un phenix,comme le dit la légende,il garde l'émeraude.L'émeraude qui est gardé en nous tel un trésor,cahcée au fond de notre coeur.
Et le phenix,après avoir réduit son monde en cendre,renait de mille feux mille fois plus beaux et brillants.
















*Il n'avait toujours pas digéré qu'on le laisse seul sur le chemin.Il était en colère.Il était furieux.Pas contre les autres,non.Il était furieux contre lui-meme.Cet enfant,cet homme que les autres voyaient comme fort.Ce n'était pas un role qu'il avait voulu.Il était là,sur le chemin,regardant les autres s'éloigner.Non,il était là,sur le chemin,se regardant s'éloigner des autres.
Il n'aimait pas qu'on laisse seul.Non,il n'aimait pas laisser les autres seuls.


Que cette illusion lui parut réelle...
Que cette réalité lui parut illusoire...








Que ce monde lui parut souffrir,en ce moment...



















Et pourtant...















Il gardait cette lumière en lui,cette lueur d'espoir,cette volonté qui ne pouvait s'éteindre.Il était tetu.On le lui reprochait souvent.*

2 comments:

Mparesseux said...

Un Noé qui attire les animaux à lui, je pense savoir qui était la louve, quoique non ça doit être elle et pas elle, pour le papillon, je pense à ton frère d'engueulade pour la journée d'aujourd'hui.
Le dauphin par contre aucune idée, ça me fais flipper rien que d'y penser XD (play on word).

Marie said...

Hmmm, j'avoue que le dauphin, même après réfléxion je vois pas trop ... (D'ailleurs, quel jeu de mot débile XD) Par contre les autres ça va à peu près. Enfin, plus ou moins ...